La Banque de France a relevé jeudi sa prévision de hausse du Produit intérieur brut pour 2018 à 1,9%, mais abaissé celle de 2019 à 1,7%.
Dans des prévisions macroéconomiques intérimaires, l'institution monétaire a relevé de 0,2 point sa prévision pour cette année, publiée en décembre dernier, à 1,9%.
Elle a en revanche abaissé sa prévision pour 2019 de 0,1 point à 1,7% et prévoit pour 2020 une croissance de 1,6%.
Le gouvernement table pour sa part officiellement sur une croissance de 1,7% par an sur la période 2018-2020.
La révision à la hausse de sa prévision pour 2018 "traduit un élan passé très fort", explique la Banque de France, dans un communiqué.
L'Hexagone a en effet enregistré une croissance de 2% l'an dernier, selon l'Insee, et l'"acquis de croissance" - c'est-à-dire le niveau que le PIB atteindrait si l'activité stagnait d'ici à la fin de l'année - est d'ores et déjà de 0,9%.
La demande intérieure devrait rester dynamique, avec une accélération de la consommation des ménages liée à "la bonne tenue de l'emploi et au redressement des salaires", ainsi qu'aux mesures fiscales soutenant à partir de fin 2018 le pouvoir d'achat.
L'investissement des entreprises devrait pour sa part se modérer "graduellement", mais rester "soutenu par la vigueur de l'activité et le niveau relativement bas des taux d'intérêt".
Par ailleurs, "il est attendu un fort rebond de la croissance des exportations", qui "resteraient soutenues par le dynamisme de la demande mondiale".
De fait, la contribution du commerce extérieur, point noir de l'économie française, devrait être "nettement positive en 2018", anticipe l'institution.
Les exportations devraient ralentir ensuite en raison d'"un environnement extérieur moins favorable", avec l'effet retardé de l'appréciation récente du taux de change (euro/dollar) et la demande mondiale moins vigoureuse.
En 2019, l'investissement lui aussi devrait continuer à ralentir, après avoir atteint un "pic" en 2017. De fait, la croissance encore fléchir en 2019 et 2020, mais elle se maintiendrait à un "rythme supérieur à la croissance potentielle", estimée actuellement autour de 1,3%-1,4%.
Du côté de l'emploi, la Banque de France estime que le taux de chômage devrait atteindre 7,9% au dernier trimestre 2020, ce qui constituerait son plus bas niveau depuis fin 2008.
L'institution monétaire prévoit en revanche des à-coups en 2018 et 2019 pour l'inflation, celle-ci devant se redresser à 1,6% cette année puis se replier à 1,4% l'an prochain. Mais elle devrait ensuite se redresser "vers 1,9%" en 2020.
Cela rend jaloux tous les fachos de FI les pauvres Républiquains sauce Wauquiez...Alors on fait donner les syndicats gauchistes pour casser car ils ont la trouille que Macron réussisse et que par conséquence ils perdent leur capacité de nuisance au près des Gogol qui croient encore à leurs fadaises.
Avec tous ces % et ces prédictions de la banque de France , il faut que je révise mes tableaux de calcul . Avec des "SI" avec des ""on DEVRAIT "", les Français en attendant voient le chômage augmenter , voient les orages qui montent avec colère contre toutes les taxes qui tombent les unes sur les autres . Ah si Macron écoutait le peuple ""SI"" mais voilà il le ""DEVRAIT "" mais il ne le fait pas .
Des prévisions , des sondages , des peut-être que , des promesses voilà nous sommes dans la vraie politique .
Et des retournements de vestes des politiciens .
Le Maire pendant sa campagne présidentielle de voulait entendre parler de la csg et une fois ministre qu'à-t-il fait ?
Ce n'est pas grâce à vous M Le Maire, mais à Hollande, vous commencez à obtenir quelques fruits
Certainement pas du à Hollande